Il suffit d’écouter Ariane Bilheran https://www.youtube.com/watch?v=Jlcv6OG2NYU pour comprendre que l’idéologie du 3ième Reich n’a jamais cessé en ce sens qu’elle a été récupérée à bas bruit par les militaires américains et la DARPA et par le management des grandes entreprises tandis que le procès de Nuremberg n’a été qu’une mascarade.
Gunter Anders, le compagnon d’Hannah Ahrendt, moins connu mais plus profond que cite Ariane Bilheran en introduction, l’avait vu dès les années 50 et plus récemment Christophe Dejours aussi dans ses analyses des conditions de travail. Mais on nous racontait dans les médias que c’était une histoire ancienne et que jamais plus….
Pourtant, depuis quelques années déjà, on sentait bien la déshumanisation
- avec le slogan en réaction « l’humain d’abord »,
- avec la rigidité sans discussion possible des logiciels informatiques,
- avec les abus de pouvoir des administrations accrochées au formalisme kafkaien de leurs règles inflexibles sans exception raisonnée raisonnable possible,
- au relationnel cassant des gendarmes et de la police accrochés au chiffre et à la prolifération des radars et caméras de toutes sorte,
- sans oublier le développement de la « culture de suppression »
Trois générations de gestation plus tard, dans un capitalisme poussé au maximum et complètement mité, les effets sont dévastateurs. Il est maintenant bien clair que si les peuples n’enrayent pas cette idéologie capitalistes paroxystique et ce totalitarisme au point d’acmé, il y aura dans le futur selon l’immuable classification laborare, oratore, bellatore :
- d’un côté les animaux à visage humain
- et de l’autre quelques humains clercs indispensables de l’électronique, l’informatique, la santé et l’écologie
- sous la coupe des inhumains de la finance et des armées
Un esclavage encore pire que les précédents aura été réinventé et réinstauré qui n’aura plus à s’emballer de salariat stressant harcelant et de théâtre démocratique comme actuellement.
Voilà pourquoi il ne faut pas laisser le transfert d’autorité sanitaire se faire comme le propose l’OMS avec son traité contraignant les états à appliquer ses directives. Il suffit de changer la définition d’une pandémie comme avant le COVID ou de truquer les chiffres comme depuis 2020 jusqu’à aujourd’hui pour pouvoir contrevenir allègrement à la libre circulation des Hommes. Armés du passeport électronique européen qui leur a été transféré, il pourront, aidés par quelques gardiens zélés, les frustrés sexuels que Wilhem Reich avait fort bien identifiés pendant le précédent nazisme, pour contrôler efficacement des millions de personnes de tous pays.
Et nous voilà, vous, moi, le peuple, obligés de choisir entre
- le zombie avec sa puce dans le cerveau pour contrôler ses pensées et passer les portillons automatique
- ou le camp de concentration à ciel ouvert.
Dans la prison à ciel ouvert, baptisée France, Allemagne, … gérée par Bill Gates à travers l’OMS, telle le panoptique imaginé par le philosophe Jeremy Bentham mais modernisée avec les débits 5G, l’internet des objets, et les milliards de caméras et de micros déclenchés à l’insu des détenteurs et utilisés pour les traquer comme des bêtes.