N’ayant pas réussi à vous contacter par internet ce jour ni reçu de réponse à un courriel d’il y a un mois, je vous confirme par la présente la résiliation au 30 juin de mon contrat de mutuelle nous protégeant mon épouse et moi-même .
Les motifs cette pénible décision ce sont :
- la dangerosité des soins hospitaliers quand ce n’est pas l’assassinat au Rivotril pour cause d’âge jugé excessif,
- les exigences d’injection avec un produit dangereux pour la santé pour l’accès à l’hôpital
pour les accidents de santé d’une part et d’autre part,
- le mauvais rapport qualité prix des remboursements de soins courants
- et la dégradation de la qualité de soins généraux (prescription automatique expéditive ; examens mécaniques)
- avec des remboursements déconnectés des besoins réels parfois même aberrants.
J’en profite pour ajouter que le scandale de la gestion des mutuelles à travers le l’achat sans contrôle dénoncé par un député de Niort d’une société fantôme offshore à prix d’or avec leur trésor de guerre n’est pas de nature à me rassurer sur l’équité et donc l’intérêt de l’assurance santé complémentaire.
De même le capharnaüm des régimes, des noms commerciaux, des interférences avec les retraites, la mainmise des entreprises sur la liberté de choix d’une mutuelle ne m’incitent pas à continuer à participer au système. J’aime ma liberté quand je paye et je n’aime pas être pillé ; ni à travers l’Etat, ni a travers une entreprise socialisée ; même discrètement !
Et pour faire bon poids, les mutuelles n’ont pas défendu leurs sociétaires auprès d’une administration et d’un corps médical tout entiers corrompus et idéologiquement fanatisés par les laboratoires pharmaceutiques et les lobbys financiers anglo-américains.
Tout en regrettant cette victoire de l’individualisme sur le socialisme, je suis donc malgré cela content, même à l’âge de la retraite, de prendre ma santé en main avec les méthodes plus évoluées comme l’homéo- ou la naturo- pathie mais surtout l’hygiène de vie et de faire ainsi, résolu et confiant, un premier pas vers la sécession.